Ce projet d'aventure humaine avec nos enfants tourne dans nos têtes depuis de nombreuses années.
Cette aventure se divise en fait en trois voyages, le premier est la découverte de différents pays, différentes populations, différentes cultures... le second voyage est intrafamilial, qui nous conduira à redécouvrir et à mieux connaître les membres de notre famille... et enfin il y a un voyage intérieur que chacun de nous est en train de réaliser à sa façon sur la voie de la maturité, de la patience, de la compréhension des autres et de soi même. Nous avons du mal à déterminer lequel est le plus important . . .
Nous réaliserons ce voyage d'une année, pour moitié seuls, et pour l'autre moitié avec le Rallye des Iles du Soleil (RIDS). Les enfants suivrons les cours du CNED tout au long de l'année. Lucie en 3eme, Romain en 4eme, Théo en CE2, et Martin en maternelle grande section.
Nous partons de Port Napoléon (près de Marseille) pour traverser la Méditerranée, dire bonjour aux îles Baléares, rejoindre Gilbraltar, traverser le détroit et rejoindre Madère.
A partir de Madère (13/10/10) nous rejoindrons les 20 bateaux du RIDS.
Les grandes escales seront : le désert Marocain, le Sénégal, les îles du Cap Vert, le Brésil, la remontée des côtes Brésiliennes, une navigation de plus d'un mois sur l'Amazone, puis nous quitterons le RIDS pour poursuivre vers les Antilles et ... Voici la trame de notre périple.
Pour nous suivre, vous pouvez visualiser la position du bateau grâce à notre balise Dolink, (cliquez sur la petite mappemonde en haut à droite).
"Le seul fait de rêver est déjà important.
Je vous souhaite des rêves à n'en plus finir
Et l'envie furieuse d'en réaliser quelques uns.
Je vous souhaite d'aimer ce qu'il faut aimer et d'oublier ce qu'il faut oublier.
Je vous souhaite des passions.
Je vous souhaite des silences.
Je vous souhaite des chants d'oiseaux au réveil et des rires d'enfants.
Je vous souhaite de résister à l'enlisement,
A l'indifférence,
Aux vertus négatives de notre époque.
Je vous souhaite surtout d'être vous."
Jacques Brel