La ressource principale de l'île reste encore l'agriculture. La culture de la canne à sucre a été remplacée pour une grande partie par la banane, le cacao, la noix de coco et les agrumes.Grâce à une mise en valeur des beautés naturelles de l'île, à une infrastructure hôtelière en constant développement et un aéroport international, le tourisme est depuis quelques années en plein essor.
Dimanche,par un temps bien nuageux, nous sommes allés en annexe jusqu'au National Park de Pigeon Island,minuscule île reliée à la terre par une digue artificielle.Nous avons fait une agréable promenade en passant devant les ruines du fort Rodney et un musée. Dommage que le beau temps ne soit pas au rendez vous.
Le lundi après avoir fait travaillé les enfants le matin,nous décidons de partir en taxi collectif jusque Castries.Fondée au XVIII ème siècle par les Français, la ville a pris le nom du ministre de la marine de Louis XVI, le général de Castries. Ce fut longtemps l'un des ports les plus actifs en eau profonde des "West Indies".
De ses vieilles maisons coloniales, seules quelques rescapées subsistent sur Brazil Street et autour de l'ex-Columbus Square rebaptisé Derek Walcott Square en l'honneur du prix Nobel de littérature,natif de l'île.
Tout près se dresse la cathédrale de l'Immaculate Conception,datée de 1897, à l'étonnante charpente métallique intérieure.
Puis nous avons continué vers les hauteurs pour ensuite rejoindre Marigot Bay, une petite crique superbe |
et plus loin l'anse La Raye où la visite du village de pêcheurs par John nous a rappelé le Brésil: les petites cases de couleurs, les barques et les filets multicolores qui décorent la plage, les petites boutiques et l'église. John est pêcheur et nous a expliqué comment il pêchait.
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