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Sur le toît du "bus" |
Les baobabs font aussi partie du paysage et nous nous arrêterons devant un énorme spécimen de 850 ans! Nous sommes même rentrés à l'intèrieur de celui ci et contempler les milliers de chauve souris et faire un voeu bien sûr! Les baobabs se creusent à partir de 500 ans et tombent à 1000 ans.
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L'entrée du Baobab |
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A l'intérieur . . . |
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Les chauves-souris . . . |
Autour du baobab il y avait bien sûr quantité de marchands pour essayer de nous vendre quelque chose et ils y arrivent bien sûr!
Ensuite, nous arrivons au marché de Samba Dia
où nous avons été pris d'assaut par de nombreux enfants.
L'un d'entre eux parlait bien le français et nous amena jusqu'à l'école laïque du village. Le directeur de l'école était là et nous a expliqué son fonctionnement. Nous sommes même rentrés dans une classe de CE1. Théo a lu ce qui était écrit au tableau avant que d'autres élèves en fassent autant. Ici l'école n'est pas obligatoire mais néanmoins les classes sont surchargées( 48 élèves dans cette classe mais souvent ils sont plus de 70!). Les élèves semblaient intéressés, dynamiques, respectueux et bien habillés. Leur professeur leur a expliqué ce que nous faisions dans le dialecte local.Ce fut vraiment un échange intéressant et constructif. A la sortie, le groupe d'enfants qui eux n'étaient pas à l'école, nous attendait. Leur professeur était en formation et ils n'étaient sans doute pas tous inscrits à l'école!
En revenant du marché, notre bus est tombé en panne d'essence! Il faisait très chaud, on commençait à avoir faim et il fallait au moins une heure pour aller chercher un bidon d'essence.Mais c'est normal. Nous sommes en Afrique!
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Les bus à deux étages . . . |
Le deuxième bus rassembla les femmes, les enfants et les papas des enfants. Nous avons donc eu plus de chance que les autres!
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Préparation d'un feu de camps |
De retour à Djiffer, nous avons vu le soleil se coucher sur les barques de pêcheurs avec des couleurs exceptionnelles.
Plus encore qu'à Dakhla, nous aurons beaucoup de mal à vous retransmettre nos émotions,notre ressenti face aux bruits, aux odeurs, à la pression humaine, à la misère, difficile à décrire ici dans ce coin d'Afrique sans eau potable et sans électricité. Mais sont ils malheureux?
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Carrosserie et mécanique |
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Les connaisseurs apprécieront : L'intérieur de notre bus . . . |
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